OYEZ, OYEZ TOUS LES ADHÉRENTS SONT CONVIÉS AU REPAS PARTAGÉ DU 4 DÉCEMBRE !!!! Même si ce n’est pas votre semaine de distribution. 😉 Chacun(e) apporte quelque chose à grignoter 🍕 ou à boire 🍾 et qui se partage. La bonne humeur aussi se partage ! Alors apportez-en une bonne dose, on en fera des tartines ! Le repas débutera à 20h45 et dans la mesure du possible, chaque participant(e) apporte ses couverts non-jetables.
Pré-commandez votre panier de légumes directement au près de Maraichage Les Grands Prés, notre maraîcher partenaire et venez les récupérer chez Les Ciboulettes, à la gare de Chelles, les vendredis entre 11h et 14h.
Aperçu du panier du vendredi 7 mai
Le panier (sans engagement) coûte 20€ et a de quoi nourrir une famille de 4 personnes pendant une semaine.
Le Covid a-t-il convaincu les habitants de Chelles de manger local ? Les habitants du secteur s’orientent davantage vers les producteurs locaux ou les commerçants de proximité. L’AMAP est à l’honneur dans cet article de La Marne.
Nous n’avons plus accès à la salle Duport. La mairie nous a proposé une alternative à Chantereine, mais ces locaux ne sont pas éclairés et nous ne pourrons pas les utiliser immédiatement. Nous vous tiendrons informés.
La distribution du lundi 26 octobre aura lieu au 13 rue des Nonettes à Chelles entre 19h20 et 20h20. Un grand merci à Quentin Lopez qui nous accueillera dans les locaux de l’entreprise UBALDI.
Bonne nouvelle!! Nous allons pouvoir enfin récupérer notre salle habituelle pour les distributions dès ce lundi.
Bien évidemment, nous allons devoir respecter quelques consignes sanitaires (port du masque obligatoire, distanciation physique, etc…) nous comptons donc sur vous pour les respecter. Nous vous enverrons un mail les jours qui viennent avec l’ensemble des mesures mises en place.
Un grand merci à tous ceux qui nous ont ouvert leurs portes pendant cette longue période, permettant ainsi que les distributions puisse avoir lieu dans de super conditions. Vous nous avez permis de continuer à profiter des bons produits de notre amap. MERCI!
Lors de la distribution du lundi 11 mai, nous avons eu le plaisir de retrouver quelques producteurs de notre association, dont Yves de « LA FROMENTELLERIE » pour les produits laitiers. En ce premier jour « appréciable » de déconfinement, Yves s’est confié :
« Le confinement, lié à la malheureuse pandémie, a été bénéfique pour nous producteurs. On s’est fait connaître et on a eu une pression sur les ventes beaucoup plus importante, grâce aux AMAP. Le fait d’avoir choisi mon orientation vers les AMAP a fait que je n’ai pas eu de semaine d’adaptation difficile, contrairement à mes collègues qui avaient plutôt des restaurants. J’ai perdu un restaurant, un lycée, une boulangerie, mais par contre j’ai vendu plus : à la ferme, dans des boutiques à la ferme qui livrent dans des AMAP et que je livrais, elles ont triplé leur commande, Point Nature à Alfortville et les petites épiceries ça a encore mieux marché. Les gens ont eu le temps, ils ont tapé, ils ont cherché, on a été appelés, et on s’est fait connaître dans des nouvelles AMAP.
Le problème que nous rencontrons nous, c’est la main-d’œuvre, on manque de temps, on est débordés de boulot, on n’arrive pas à faire les choses rationnellement. Je crie haut et fort qu’il faut diminuer les cotisations sociales pour encourager les patrons, leur permettre d’augmenter le nombre de salariés qui permettrait à chacun d’avoir un temps de travail plus rationnel, plus équilibré et donc d’avoir un temps de la vie de famille, que je pense, beaucoup ont apprécié pendant le temps de confinement. Ils ont retrouvé leur famille, leurs enfants, la joie de vivre, pourvu que cela dure !
Je pense que dans les clients qu’on a récupérés pendant ce temps de confinement, on va en garder 20 à 30 %, et le reste va retomber dans le schéma de la bousculade, de la pression au travail. Le supermarché va mettre une communication très forte pour les attirer, mais malgré tout on gueulera un peu plus, on va trouver des gens qui vont peut-être changer de métier, qui vont peut-être revenir vers des métiers comme les nôtres. J’espère que les personnes vont apprendre à ce faire un avis, et à ne pas boire tout ce qui nous est apporté à la télévision, à avoir peur, à vivre dans un climat anxiogène… et du coup on accepte tout, parce que « l’état providence » vient nous sauver.
Ce qui nous sauve nous petits producteurs, se sont vous les consommateurs, sans vous on n’est rien. Aujourd’hui, tout est fait pour supprimer votre liberté, par contre, vous, vous êtes plus forts que nos politiques, et vous êtes de plus en plus nombreux à suivre ce chemin de liberté. Nous on veut garder le système qui vous sécurisera et qui vous permettra de rester libres. Si on peut avoir du monde qui vienne dans nos métiers et développer nos structures, allons-y.
Je croix que la meilleure défense durable c’est ce que l’on fait, c’est ce que vous faites. Et ils ne peuvent pas nous empêcher d’acheter chez nous et nous nous empêcher de vous vendre. LE CHEMIN IL EST LÀ. »
Les fermetures de points de vente se multiplient du fait de la crise sanitaire. Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) se réorganisent pour respecter les mesures d’hygiène lors des distributions. Et doivent s’affirmer auprès des autorités, qui se désintéressent d’elles. Article à lire sur Reporterre.